Ce site utilise des cookies pour améliorer votre expérience. En continuant, vous acceptez leur utilisation. Mentions légales et déclaration de protection des données
Texte de m. rouzel - Méthodes Educatives Pédagogie - Educh.ch

Texte de m. rouzel

Texte de m. rouzel
Partager sur Facebook LinkedIn E-mail

Texte de m. rouzel

Un texte mis à notre disposition par

Joseph ROUZEL, directeur de l’Institut Européen Travail Social et Psychanalyse (PSYCHASOC  http://www.psychasoc.com), psychanalyste, formateur en travail social, rouzel@psychasoc.com
Derniers ouvrages parus : Psychanalyse pour le temps présent, érès, 2002 ; Le quotidien en éducation spécialisée, Dunod, 2004.

humain- c’est à dire sorti de l’humus, issu de la glèbe et de l’argile, comme nous le rappellent divers mythes de création- l’être humain donc présente un organisme animé par une énergie débordante, excessive. Le corps, l’homme ça l’excède, le dépasse, le submerge, le déborde, le bouleverse, l’inquiète, et l’embarrasse. Cette énergie en-trop, en excès que Freud nomme pulsion, ça pulse sans cesse. La poussée de la pulsion dit Freud est constante. Et ça vaut mieux. Le jours ou nous ne sentirons plus dans notre corps cette énergie qui nous dérange, c’est un signe clinique qui ne trompe pas......

 


Dire non à la jouissance.

L’être dit humain- c’est à dire sorti de l’humus, issu de la glèbe et de l’argile, comme nous le rappellent divers mythes de création- l’être humain donc présente un organisme animé par une énergie débordante, excessive. Le corps, l’homme ça l’excède, le dépasse, le submerge, le déborde, le bouleverse, l’inquiète, et l’embarrasse. Cette énergie en-trop, en excès que Freud nomme pulsion, ça pulse sans cesse. La poussée de la pulsion dit Freud est constante. Et ça vaut mieux. Le jours ou nous ne sentirons plus dans notre corps cette énergie qui nous dérange, c’est un signe clinique qui ne trompe pas, nous serons mort. Mais nous ne serons plus là pour le dire ! Freud dit clairement que cette histoire de pulsion, c’est « notre mythologie », autrement dit une façon de border d’un mot l’énigme que creuse la vie qui anime notre corps. Bref un corps humain ça jouit , et pour le dire de façon triviale, mais réaliste,  ça jouit par tous les bouts et tous les trous. Ça jouit ou plutôt ça veut jouir. Cette volonté de jouissance, increvable parce qu’elle constitue de fait le moteur du corps humain, Freud la nomme : pulsion de mort, au sens ou cette tension dans le corps qui nous excède cherche le plus court chemin de son apaisement. C’est cette même pente que Lacan nomme jouissance. Mais la jouissance, c’est à dire la totale et absolue satisfaction de la pulsion est impossible pour l’être humain. Pourquoi : parce qu’il parle. La parole fait barrage à cet jouissance excessive en l’interdisant. C’est la fonction inaugurale de l’interdit de l’inceste. C’est cet impossible et cet interdit de la jouissance qui fait d’un organisme animal vivant un corps humain socialisé. Autrement dit il existe dans ce même corps jailli de terre, une autre énergie non-naturelle qui fait barrage à la jouissance, la dérive, la détourne de son but. Si la jouissance du corps pulse à partir de l’énergie vitale qui l’anime, elle diffuse dans ce corps comme un toxique. Voilà bien le paradoxe de la nature humaine, de la tension qui agite l’espèce: la vie pour l’homme est toxique. Il faut donc la désintoxiquer, lui faire subir un traitement.
Le traitement introduit dans le corps humain pour détourner la puissance destructrice qui l’habite, tout en s’en servant pour produire des formes de vie socialement acceptables – sublimation, nous dit Freud – ce traitement se nomme : culture. Culture que Claude Lévi-Strauss dans son « Introduction à l’œuvre Marcel Mauss »  définit ainsi : « Toute culture peut être considérée comme un ensemble de systèmes dans lesquels se place le langage, les règles matrimoniales, les rapports économiques, l’art, la science, la religion ». Freud pour sa part en propose une définition plus serrée pour ce qui nous occupe : « La culture désigne la somme totale des réalisations et dispositifs par lesquels notre vie s’éloigne de celle de nos ancêtres animaux et qui servent à deux fins : la protection de l’homme contre la nature et la réglementation des relations des hommes entre eux. »
Ici l’anthropologue et le psychanalyste se font écho, l’un sériant les appareils de la culture, l’autre en précisant l’usage. La culture dont le socle repose sur ce fait indéniable que l’être humain parle – ce pourquoi Jacques Lacan le nomme « parlêtre »- agit comme un « non » absolu à la jouissance, à l’énergie débordante de vie qui anime l’organisme humain. Non à la jouissance, tel est l’impératif catégorique qui gouverne en sous- main- qu’il le veuille ou non- l’humain, parfois trop humain, comme le désignait Nietzsche. C’est ce « non à la jouissance » que déclinent les civilisations, les sociétés et dont les familles se font le relais. Le processus descendant  de transmission du niveau le plus radicalement anthropologique jusque dans l’espace social et familial et qui aboutit à la naissance d’un sujet, n’est autre que ce que l’on nomme éducation. « L’éducation, souligne Freud dans sa première conférence de 1917, c’est le sacrifice de la pulsion. »  L’éducation est une des déclinaisons de l’appareil civilisateur de la culture. Chaque sujet est introduit, contraint et forcé, à ce mode de traitement par ces éducateurs naturels que sont les parents. La dialectique père/mère opère  une mise en tension entre la puissance de vie et le pouvoir du langage qui permet à chaque petit d’homme de cheminer de la pulsion au désir. Le désir naissant de cet empêchement  de base que je nomme traitement. Les formes de traitement de la pulsion sont donc transmises dans l’espace familial, qui les tire de l’espace social, du vivier des représentations, valeurs, idéologies qui constituent le fond de scène sur lequel évolue une génération, et ce en suivant pas à pas les lois de la parole. Ensuite tout sujet, assujetti, à cette loi d’airain, va produire ses propres modes de traitement. Il va intégrer le non à la jouissance. Mais tout de la pulsion constate Freud, n’est pas éducable. Ce qui signifie qu’une partie de l’énergie disponible ne trouve pas de voies d’expression dans des formes socialement valorisées. D’où par moment le débordement. Le chemin de la jouissance, quoique barré, et souvent mal barré - même s’il se présente comme impossible , car l’appareillage du vivant biologique de l’organisme à l’ordre du langage qui lui donne corps, l’a construit comme perdu - n’en continue pas moins d’attirer l’énergie pulsionnelle. En effet c’est un chemin qui - même s’il n’existe pas- se présente comme plus rapide, plus facile. D’où une série de formations dites par Freud de l’inconscient, de mises en forme de cette énergie brutale, dans des versions inacceptables par la communauté humaine. Certaines formes ne prêtent pas trop au désordre social, d’autres si. Citons les lapsus, les oublis, les actes manqués, les passages à l’acte, les rêves, les fantasmes, les symptômes. Un ensemble de manifestations qui autorisent la décharge plus rapide de l’énergie pulsionnelle. On voit ici que ce que l’on nomme passage à l’acte participe de cette précipitation de l’énergie, toujours en excès par rapport aux possibilités de recyclage que l’on nomme socialisation, vers une porte de sortie « jouissive ». ça peut faire mal, très mal, mais ça fait du bien à la pulsion, voilà le paradoxe. Tout sujet se trouve ainsi en permanence devant un choix : soit en passer par les contraintes sociales qui produisent autant de modes de traitement de la jouissance, soit lui laisser libre court. Encore faut-il que la société dans laquelle il naît et vit mette à disposition le théâtre et les rôles qui en favorise la mise en scène. Or c’est bien là que le bât blesse dans notre société post-moderne: les modes de transmission du « non » sont battus en brèche. En effet nous assistons à la fabrication d’un « homme nouveau », un sujet désymbolisé, à qui on aurait arraché toute culpabilité et possibilité critique, un pur consommateur en quelque sorte. L’impératif du capitalisme, qui a endossé il y a belle lurette les habits du néo-libéralisme et de la mondialisation, c’est une jouissance sans entrave du marché : jouissez, c’est un ordre !  Pour cela il s’agit de détruire tous les fondements de l’autorité les uns après les autres. Tous les représentants de l’autorité, les passeurs du « non à la jouissance » se trouvent délégitimés. Parents, éducateurs, professeurs, représentants de l’ordre, magistrats, politiques… autant d’empêcheurs de jouir en rond qu’il s’agit de déquiller.   Combien de parents, d’éducateurs, de personnes en charge d’autorité n’osent plus dire « non » de peur de se fâcher avec les enfants dont ils ont la charge - car c’en est une, et noble de surcroît !  Notre société sous ses aspects libéraux débridés, où seuls la loi du marché prévaut, alimentés par la volonté de jouissance consumériste, où le « tout, tout de suite » d’essence toxicomaniaque bat le haut du pavé, ne soutient plus dans leurs choix ceux qui ont la charge d’en assurer la transmission. Le moindre petit « non » peut aujourd’hui déclencher une catastrophe.   Un fait divers récent nous le rappelle.

Pierre a 14 ans. Il habite un petit village tranquille,  Ancourteville-sur-Héricourt, typique du pays de Caux, en Normandie, au cœur de la France profonde. C’est un bon élève de 4 éme au Lycée Henri-Wallon de Fauville-en-Caux, en Normandie profonde. Ce mercredi 27 octobre 2004 vers 15 heures, en vacances de Toussaint,  il est attelé à la construction d’une rédaction. « ça m’a pris d’un coup, expliquera-t-il plus tard. Ça me trottait dans la tête depuis quelques jours et là, il fallait que je le fasse ». Il a pris le fusil de chasse de son père et attendu arme au poing le retour de sa mère partie chercher sa sœur, Marion âgée de 12 ans à son cours de natation. Elle était accompagnée de son petit frère  Louis, 4 ans. En les attendant il s’est mis sur le magnétoscope le film Shrek. Dès que Lydie, sa mère, entre, il tire. Elle s’écroule, morte. Il la tire jusqu’à la salle de bain « pour pas que Marion la voie ». Mais lorsque celle-ci va prendre sa douche, elle découvre le corps. Pierre la pourchasse alors dans la cuisine et à nouveau fait feu. Il la laisse pour morte. Le petit Louis descend quatre à quatre les escaliers en hurlant, affolé. A nouveau Pierre tire pour le faire taire. Puis il se cale dans son fauteuil devant son film dont il reprend le cours tranquillement. Son père Thierry ouvrier chaudronnier rentre alors. Pierre tire, deux fois. Le père s’effondre. Ensuite de quoi Pierre prend son sac à dos, jette les clés de la maison dans la piscine, après avoir fermé la porte d’entrée,  et enfourche son vélo. Il pédale jusqu’à Cany-Barville, 15 km plus loin. Pendant ce temps Marion, juste blessée, s’échappe par le velux. Pierre téléphone d’une cabine à la gendarmerie. Il sort une histoire à dormir debout. Il ne peut pas rentrer chez lui, prétend-t-il, il n’a pas les clés et il craint le pire : il a vu par la fenêtre son père allongé par terre. La petite Marion entre temps est arrivée chez les gendarmes qui arrêtent Pierre à 17h 45.

Le procureur de la République de Rouen, Joseph Schmidt, est atterré : « Il a donné quantité de détails, sans jamais manifester la moindre émotion. Comme s’il n’était pas vraiment concerné par tout ça ».  Il précise que Pierre n’a pas prémédité son geste.  « Il a été dépassé par les évènements » lui a confié Pierre.  Les voisins ne comprennent pas, Pierre était un « ange », sa mère Lydie une épouse et une mère de famille « très attentive ». Les experts psy convoqués se fendent du concept de « bouffée délirante ». ça nous fait un belle jambe. Mais que dit Pierre pour expliquer son crime ? Il dit très simplement que sa mère le « disputait tous les jours » et le tapait avec cette cuillère que dans le patois du pays de  Caux on nomme « mouvette ». La veille du crime sa décision est prise :  « il faut que ça s’arrête , que je tue maman ». En effet elle vient de lui interdire de jouer au foot et le prier de terminer d’abord ses devoirs. Lorsqu’il demande un euro pour acheter France Football, c’est niet. C’est en rédigeant son devoir  pour l’école que la décision lui apparaît sans appel : « j’ai pris la décision de me dire que j’étais capable de faire ce que j’avais décidé ». ça fait beaucoup de décision décidée ! A priori il ne visait que le meurtre de sa mère, mais il a tué son père car celui-ci en rentrant du travail « allait voir que j’avais fait du mal à maman et allait donc me tuer aussi ». Il est mis en examen par la juge Sylvie Gosent, pour « assassinats », « meurtre aggravé » et « tentative de meurtre aggravé ».


Dans notre monde dit civilisé, des enfants sont élevés sans repères, sans limite. La seule chose qui compte c’est le libre marché des biens et leur consommation. Société du spectacle et de la marchandise généralisés, prophétisaient les situationnistes dès les années 60. Nous y sommes !  Comme le discours social empoisonne les représentations de père et de mère, et les délégitime dans leur autorité - le moindre interdit devenant maltraitance  - ces enfants sont alors conduits à poser eux-même des limites. On le voit bien dans cet exemple terrifiant, ils en trouvent, mais du coté du pire. Car se construire ses propres limites, se dire « non » à soi-même relève d’une tache quasiment impossible. La jouissance s’arrête de fait, les gendarmes se font les agents de ce point d’arrêt. Car il y a toujours un point d’arrêt, un point dans l’espace social où le « non » est énoncé. Ce point de butée à force d’être repoussé se produit dans un lieu terrible, celui de la confrontation au réel traversé par le symbolique. Le traitement du débordement pulsionnel par la justice - le droit ayant pour essence la régulation de la jouissance dans le champ social -  va suivre son cours. Mais à quel prix ! Il faut que la vie de ceux qui ont en charge de le castrer s’arrête pour que « ça s’arrête » comme dit Pierre. Le déplacement de l’espace familial vers le judiciaire, par exemple avec l’inscription toute récente par le Garde des Sceaux de la transgression de l’interdit de l’inceste au titre d’une faute pénale, alors que l’interdit de l’inceste est le pivot de la transmission intra-familiale, témoigne de ce sabordage de la fonction parentale. Cet interdit fondamental Claude Lévi-Strauss le pose comme condition du passage « de l’état de nature à l’état de culture » et Freud le définit comme « barrière à l’inceste », autrement dit barrage à la jouissance. Certains diront, à la lecture de ce texte sévère, que je prône un retour nostalgique aux formes autoritaires d’antan. Pas du tout. Je constate que ceux qui ont en charge la transmission des limites sont mis sur la touche et l’on peut comprendre ainsi qu’une parole, castratrice, mais  de bon sens, telle que la proféra la mère de Pierre : « tu finis tes devoirs avant de jouer », n’ait plus aucun poids. Qu’est-ce qu’une société où ceux dont c’est le devoir de dire « non » ne sont plus soutenus par l’ensemble du corps social, si ce n’est dans des caricatures, des effets de manches où un Ministre se fait fort d’arrêter de jeunes délinquants en les enfermant ? Rigidité n’est pas rigueur. Enfermement n’est pas fermeté. Ceci n’enlève rien à la responsabilité de sujet de Pierre, il a à répondre de son crime. Le contexte social et les avatars de la transmission ne sauraient le dédouaner de sa subjectivité.  Mais comment soutenir une parole de sujet lorsque le socle du social, à savoir la valeur accordée à la parole d’autorité,  se dérobe sous vos pieds ? Le petit d’homme comme le baron de Baron de Münchhausen serait-il renvoyé à se tirer de la boue par lui-même en tirant sur ses bottes ? Si l’homme est un loup pour l’homme, qui va se charger de lui limer les dents au petit d’homme, lorsque les adultes sont à ce point désavoués dans leur fonction civilisatrice ?


Joseph ROUZEL, directeur de l’Institut Européen Travail Social et Psychanalyse (PSYCHASOC  http://www.psychasoc.com), psychanalyste, formateur en travail social, rouzel@psychasoc.com
Derniers ouvrages parus : Psychanalyse pour le temps présent, érès, 2002 ; Le quotidien en éducation spécialisée, Dunod, 2004.

posté par : le :

Méthodes Educatives Pédagogie site web :

Partager l'article : Texte de m. rouzel

Partager sur Facebook LinkedIn E-mail

Réponses types:
Liens
Bibliographie Education et Formation
Formation en entreprise mind map et gestion du temps Nouvel ouvrage de serge bregnard pétale de cendre Le procès de lisa roman d'un educateur serge bregnard Fondation jean piaget une mine d'infos sur le net Librairie educh.ch par catégorie Ouvrages education les plus vendus actuellement en ligne Une histoire sur le rhône et la géologie suisse pour les enfants... Bibliographie et ouvrages de références educh.ch Ouvrages conseillés sur lien social Le don de la dyslexie Se faire obéir sans crier Psychanalyse le livre noir Petit traité de manipulation à l'usage des honnêtes gens Harry potter Dominique scheder
Débats pédagogie et social
Publication du rapport « l’enfant, l’adolescent, la famille et les écrans » Coup de coeur et photos de la cité des métiers Orthographe / sms : une fracture technologique ? Residence alternee: le livre noir de la "garde partagée" ; paranoïa? Pensées...... Probleme d’Éthique ou dimension Éthique d’un problÈme ? Edito et partage de christian besson directrice La guerre est ouverte Réponse au questions fondamentales
Education Christianisme Islam et laicité
La culture pour apprendre à vivre ensemble Formations et soins au reiki Sommeil, rêve et enfance
Entreprise-indépendant-social
Modèle d'entreprise sociale en suisse l Entrepreneurs social innovant ashoka Esprit d'entreprise dans le domaine social Economie entreprise de soutien scolaire Coach indépendant quel avenir L'armée du salut a 125 ans d'action sociale Créer son entreprise dans le domaine social vaud suisse
Ethique Valeurs et Déontologie
Les placements d'enfants et les incarcérations administratives au nom de l'ordre et de la morale Regard critique: le culte du bonheur Entre l’éducatif et le répressif Initiation à la philosophie université de genève La moralisation de la société Test cannabis obligatoire à l'école Neuroscience et jugement moral Philippe meirieu chercheur, militant, citoyen son site Ethiques la pensée et l'action le nouveau programme améthyste 08 Charte qualité de la formation educh.ch Travail social et traitement des données sensibles en suisse La société intergénérationnelle au service de la famille Les conditions de la réinsertion professionnelle des détenus en france Copie de travaux de recherche sur le net Test tsedek Henri baruk Découvrir une sens à sa vie Ethique et travail social
Famille Parents Enfants
Stress le confinement et ses effets secondaires Master interdisciplinaire en droits de l'enfant La garde des enfants à l'extérieur de la famille Activité professionnelle des mères avec enfants en âge préscolaire Les femmes diplômées du degré tertiaire assez souvent sans enfant Le souhait d'enfant a toujours la cote
Formation Education Spécialisée
Formation en analyse de dessins patricia elwood Art et techniques hypnotiques dans les domaines de la santé et du travail social Maîtrise universitaire en sciences de l'éducation - approches psycho-éducatives et situations de Educateur social ou spécialisé ? Willy fruttiger dit forel, de l'enfant «incurable» à l'homme libre L'accueil dans la relation d'aide: Jean piaget "psychologie et pédagogie" Fondation et archives jean piaget Les exclus du banquet par frédéric fappani Découvrir les formations sociales en suisse romande Neuroscience sur wikipedia Master en enseignement spécialisé à l'université de fribourg Education médiation insitution formation d'été Le premier vrai salon des étudiants Etudes sur l'action éducative en milieu ouvert en suisse romande Salon des étudiants Une éducation autoritaire peut pénaliser les performances scolaires Madame delafontaine nous a quitté mais...... Exemple et pratique Le rapport o4 de l'aiej
Informations Institutions Sociales
Adresses institutions sur genève St-martin foyer pour ados Centre pour ados anthroposophe Maltraitance institutionelle Fondation delafontaine L’utilité des critères indicateurs de placement ? Adresses et infos des institutions suisse romande Le site du clair logis Réflexion et institution L’artias - association romande et tessinoise des institutions d’action sociale 10 % des adultes l'illettrisme en suisse Découvrir une présentation des institutions de suisse romande Découvrir une présentation des institutions de suisse romande
Internet, Informatique et Education
Le formateur - median Master universitaire en sciences et technologies de l'apprentissage et de la formation Infobésité - informations - savoir et technologie avec sandra enlart Educh.ch 15 ans déjà Cyberpsychologie le bain numérique Faut-il encore apprendre ? Evolution d'internet et ........ Prévention contre la pédocriminalité sur internet Facebook - réseaux sociaux et educh.ch Educa.ch - nouvelles Réseauter sur le net est-ce utile? Technologie et éducation paire gagnante ! Analyse de la voix formation entre technologie de pointe et psychologie Jeux virtuel et expérience optimale flight simulator 10 Newsletter educa infos avril Wikipedia un vrai must Les faux dangers de wikipédia Atelier informatique
Méthodes Educatives Pédagogie
Les intelligences multiples de bruno hourst L'oeil apprivoisé ? à quand une nouvelle aventure ( 2013 - 2014 ou 2015) Education la métaphore des loups ... Agenda, technologie et nouvelles temporalités Hubert reeves conteur d'étoiles La littératie au coeur de la formation et de l'éducation Synesthésie une nouvelle approche de l'intelligence Newsletter educa.ch - numéro 4/2006 Programme camps objectif science Philippe meirieu son site en ligne Texte de m. rouzel Atelier de l'école de bâles Pei de feuerstein Feuerstein education cognitive Pnl et intervention éducative exemples Poterie imaginaire et intervention éducative Les squiggles de winnicott Résolution de problème par le dessin Présentation de la bientraitance... La socialisation par le groupe de pairs