Le métier de conseillère conjugale ou d'intervenante sociale m'intéresse beaucoup et j'aimerais en savoir plus côté vécu. Je prends l'exemple de l'avortment, qui est maintenant très pratiqué, mais qui reste un sujet assez douloureux et pointu, surtout pour nous les femmes. J'aimerais avoir des témoignages ou des opinions d'intervenants dans le domaine, ou sinon plus en général, à savoir comment manifester de la compassion sans pour autant porter sur ses épaules le poids et les souffrances des autres. Où s'arrête l'empathie d'une bonne intervenante, comment fait-elle pour ne pas trop s'attacher à ceux qu'elle aide? merci infiniment de prendre quelque minutes pour me donner votre
Québec Canada
-Oui c'est la question de la distance professionnelle, certainement une question très sensible. Le plus important est d'être centré sur soi, par une analyse de son propre projet de vie, avoir déblayé devant sa porte et clarifier son projet de vie surement dans un premier. Celà permet de mieux gérer les relations humaines et se souvenir du renard du petit prince
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