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existe t il une école d'éducateur de jeunes enfant en belgique sans entrée en concour- Question - Educh.ch

existe t il une école d'éducateur de jeunes enfant en belgique sans entrée en concour


existe t il une école d'éducateur de jeunes enfant en belgique sans entrée en concour

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- DOSSIER : ETUDIER EN BELGIQUE ET EN SUISSE PAROLES D'ETUDIANTS FRANÇAIS en SUISSE Un esprit Erasmus ................................................... M. S. , 09 février 2005 ................................................... Frédérique Guérin, 26 ans, étudiante à l'Institut universitaire des hautes études internationales (Genève). «Après avoir fait Sciences Po à Lyon, je voulais faire des études de relations internationales. Je n'avais pas trouvé, en France, de cursus qui m'intéressait. Je suis partie en quatrième année en stage au Tadjikistan. C'est là que je me suis décidée à postuler à HEI. La localisation est vraiment intéressante. A Genève, je peux étudier et faire des stages dans un contexte très international. Et, puisque j'envisage de travailler dans les relations internationales, autant étudier dans un école de réputation mondiale. La scolarité dans mon école est peut-être chère par rapport à une université française, mais comparée aux formations à l'étranger, elle est tout à fait abordable.» Olivier Laurac, 25 ans, étudiant à l'Ecole hôtelière de Lausanne. «J'ai choisi de faire l'école après un deug de gestion. J'ai comparé les écoles hôtelières en France comme l'IMHI ou l'école de Savignac, mais elles ne me convenaient pas. Je me suis donc tourné vers Lausanne, d'abord parce que c'est l'école la plus réputée et qui présente le plus grand panel de cours. En revanche, la scolarité est très chère : environ 10 000 € par semestre pendant quatre ans. Dans mon école, les étudiants viennent généralement de milieux très aisés. Au début, j'ai eu du mal à m'adapter à la région. Les gens sont plutôt froids au premier abord, ils laissent une distance. Mais, une fois entré dans un cercle d'amis, tout va bien. A vrai dire, je n'ai presque pas d'amis suisses. Il faut dire aussi que les Français représentent probablement 20 à 25% des effectifs de mon école.» Pierre Lugan, 25 ans, étudiant à l'EPF Lausanne. «Je suis entré à l'EPF en quatrième année, après Polytechnique, à Paris. Nous avions un accord de double diplôme. J'ai d'abord choisi cette école parce que les laboratoires dans mon domaine, l'optique quantique, sont réputés. En plus, ils ont de bons moyens, et l'école présente un caractère très international. Mais il y a d'autres avantages à vivre à Lausanne, dont la qualité de vie. Nous vivons dans le calme, la verdure, entre les montagnes et le lac. Il y a aussi une ambiance très Erasmus : énormément d'étudiants viennent apprendre le français. J'ai l'impression d'avoir côtoyé plus d'étrangers ici que n'importe où ailleurs. Et puis, c'est agréable d'être dans un pays où les choses fonctionnent, où tout est efficace.»

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